""Il sera une fois, au pôle nord, le 16 décembre 2050, la famille Noel et ses lutins réveillés par le clapotement des vagues autour de leurs lits.

Malheureusement, la fonte des glaces s'achevait. Ils allaient devoir déménager. Les enfants croiraient-ils toujours en la magie de Noël?""

Soudain, un mégalodon surgit des profondeurs de l'océan. Le monstre, à la gueule énorme, engloutit toute la famille Noël, le traineau, les rennes...

Et les lutins. Heureusement, ils restèrent ensemble et constatèrent qu'ils se retrouvaient dans le ventre de la bête. La Team Noël se rendit compte que l'énorme créature était en fait en train de sauver les habitants de la montée des eaux... Car il y avait une cabane à l'intérieur du monstre.

Ils y entrèrent et virent une silhouette avec un nez en bois, c’était Pinocchio ! Il y avait plein d’autres personnes qui étaient en train de décorer la cabane d’illuminations de Noël. C’était spectaculaire. Pendant ce temps, le mégalodon les emmenait au Canada.
Il y faisait extrêmement froid car depuis qu'une météorite avait percuté la Terre, son inclinaison avait été tellement modifiée que le Canada s'était retrouvé à la place du Pôle Sud. Une fois arrivée, la bête ouvrit grand la bouche et tout le monde se dirigea vers la sortie, sauf Pinocchio qui resta bloqué.
La team Noël débarqua dans une ville futuriste, un taxi volant s’arrêta devant eux…

Il était particulièrement étonnant : de couleur rouge et verte avec des rayures blanches et hyper rapide.

Ils montèrent dedans. Le chauffeur était mi-robot, mi-humain. Le Père Noël lui demanda de les ramener au Pôle Nord. Le chauffeur répondit : « Mais c’est impossible ! Il ne reste plus rien de la banquise et le Pôle Nord n'est devenu que mer et océan». Il les conduisit alors jusqu’à Ottawa, capitale du Canada. Ils sortirent du taxi et cherchèrent une nouvelle maison pour s’abriter du froid. L’hiver était très rude au Canada, même si la famille Noël semblait habituée à ce climat.

Ils marchèrent des kilomètres et des kilomètres et arrivèrent dans un quartier étonnant rempli d’agences immobilières, où l’on pouvait voir des hologrammes et des maisons en 3D.

Ils rentrèrent dans l’une d’entre elles. Le Père Noël, suivi de la mère Noël, dit : « Bonjour, je suis le Père Noël. Nous voudrions acheter une maison spacieuse pour pas cher ! ». L’agent lui répondit : « Ah ah ah, c’est ça, ouais ! Et moi je suis le Grinch ! ». Vexée, la Mère Noël appela les rennes, monta rapidement dans le traineau et... Jeta un peu de poudre magique qu'elle avait prise par réflexe au départ de chez eux. Les rennes s’envolèrent d'un coup avec le traîneau plein de cadeaux...

La mère Noël était vraiment furieuse. Elle ne comprenait pas qu'on puisse se moquer de son mari aussi méchamment. Elle se tourna vers son mari pour lui demander si il pensait que les gens ne croyaient plus en lui... Et s'aperçut qu'elle était partie toute seule, dans sa colère ! Elle avait oublié le père Noël sur Terre !
Aussitôt elle tira sur les rênes pour arrêter les rennes et leur faire faire demi-tour...
Et là ! Deuxième surprise ! Le traineau était parti tellement rapidement que... Les cadeaux étaient tombés !!

Elle fit donc demi-tour sur Terre, récupèra le Père Noël et les cadeaux. Elle se dit qu'il fallait vivre avec son temps. La poudre magique du traineau, c’était fini. Les lutins fabriquèrent donc une fusée de Noël. La mère Noël fit construire une station spatiale de Noël pour vivre autour de la Terre. Cette année pour la distribution des cadeaux, les lutins et les rennes auraient des drones livreurs et des portails de téléportation au pied de la cheminée.

Ensuite, la mère Noël proposa d'aller chercher Pinocchio afin qu'il les aide à distribuer les cadeaux. Un lutin se plaça dans le portail de téléportation. Un autre prit une pince dans un cadeau puis rejoignit son compagnon. Ils délivrèrent Pinocchio puis rentrèrent.

Ils emballèrent des cadeaux toute la nuit . Pendant ce temps, le Père-Noël observait la Terre de la station spatiale. Avec quelques lutins, il fabriquèrent d’immenses frigos pour refroidir le Pôle Nord. La banquise se reforma rapidement autour du Pôle Nord et le 24 décembre la grande distribution put commencer. Depuis ce jour, le Père-Noël et sa femme racontent que les enfants voient le traîneau tiré par les rennes devant la pleine Lune. La magie de Noël est toujours là !

FIN

apparition du frère/de la sœur du père noël
Nous sommes le 24 décembre, au milieu de la nuit, au pôle Nord, dans la maison du Père Noël. Le Père Noël , la mère Noël et un lutin boivent un chocolat chaud avant la distribution des cadeaux.

Soudain, un bruit se fit entendre....

...Puis plus rien ! Le silence régnait dans la pièce. Intrigué, le lutin se chaussa, alla vers la porte, l’ouvrit doucement et fit quelques pas. Des traces d’un traineau tiré par un attelage de rennes se dirigeaient vers l’atelier. La grande porte de l’atelier claqua à nouveau puis se referma. Accompagné du Père Noël et de la Mère Noël, il s’approcha de la bâtisse.

Tout trois ouvrirent la porte et entrèrent dans la bâtisse. La porte se referma : "Aaaaah, il fait noir", dit le lutin et il s'évanouit. On alluma la lumière. Clic.
Ils virent le traineau disparaitre avec tous les cadeaux. Un petit bout de papier tomba du traineau et atterrit sur le lutin qui était en train de se réveiller. Le message indiquait :
''''"++Le 23 décembre++
Cette année, ce sera moi la vedette et pas mon frère !"''''

La Mère Noël pleura. Soudain le Père Noël vit deux oreilles et un chapeau pointu dépasser de la neige. Il se demanda: " Par la barbe de Merlin, est-ce un lutin?". Il s'approcha et le lutin lui sauta dans les bras: " À l'aide, à l'aide sauvez-moi du Père Fouettard! Votre frère m'a fouetté, maltraité depuis la nuit des temps. Je me suis jeté de votre traineau au moment où il a décollé mais j'ai réussi à attraper les clés de sa maison au Pôle Sud."

Le lutin expliqua qu'avant de sauter du véhicule volant, il avait pris le temps de verser de la poudre magique sur la voiture du Père Noël de manière à retrouver le Père Fouettard. La famille Noël prit la décision d'aller chercher la soeur jumelle du Père Noël pour ses pouvoirs de téléportation et de voyance.

Arrivés chez la sœur jumelle, Sarah, Le Père Noël lui demanda si elle pouvait les aider car leur frère, le Père Fouettard avait volé le traineau et ses rennes! Sara habitait en Islande, pas trop loin du Père Noël mais, sans traîneau, la famille Noël ne pouvait pas se rendre au Pôle Sud à temps.

Le Père Fouettard ne pouvait pas prendre la place du Père Noël car il comptait remplacer tous les cadeaux des enfants par du charbon, les enfants seraient déçus, tristes et la magie de Noël disparaitrait.
La sœur du Père Noël pouvait se téléporter en claquant des doigts, alors, elle claqua des doigts, et hop !
Ils arrivèrent tous au Pôle Sud! Maintenant, ils devaient trouver la maison du Père Fouettard, le lutin aurait pu les aider mais malheureusement, il était déboussolé et ne se souvenait plus de l’endroit où il habitait. Allaient-ils arrêter à temps le frère du Père Noël? Sarah se rappela que quand ils étaient jeunes, le Père Fouettard et elle s'envoyaient des lettres. Elle en avait gardée une où l'adresse y était indiquée. Grâce à son pouvoir de voyance, elle visualisa l'écriture sur l'enveloppe. Ils se dirigèrent vers la maison du Père Fouettard.

Pendant ce temps, le Père Fouettard était en train de fouetter ses esclaves pour leur dire de mettre du charbon dans ces satanés cadeaux. Le Père Noël et les autres restaient derrière la fenêtre pour espionner le bandit. Ils n'avaient pas encore de plan.

Après quelques instants de réflexion, ils échangèrent leurs impressions : le lutin et le Père Noël étaient plutôt pour entrer en grand fracas et se venger du Père Fouettard (les deux étaient très en colère qu'il leur ait volé beaucoup d'objets, comme la fameuse voiture "Bugatti Chirosport + 300" que le Père Noël collectionnait).
La soeur et la Mère Noël étaient plutôt pour tenter de gagner par la ruse...
Le hasard leur en donna l'occasion : un des esclaves du Père Fouettard, qui ne devait pas travailler assez vite pour lui, sortit de la maison en pleurant : il venait d'être exclu... La soeur prépara la lettre qu'elle avait gardée de leur ancienne correspondance, en espérant que cela rendrait son frère mélancolique. Elle s'approcha de l'esclave qui pleurait, et lui dit :

"- Ne pleure pas voyons. Si tu veux que ça s'arrête, fais ce qu'on te dit.
- Oui mais ne me fouettez pas s'il vous plait.
- Ne t'inquiète pas, apporte cette lettre au Père Fouettard. Ça va le déconcentrer."
Il donna la lettre. Le père Fouettard la lut. Il était ému. Pendant ce temps là, son frère, le Père Noël l'assomma et le ligota. Deux heures plus tard, le Père Fouettard se réveilla attaché et vit tous ses esclaves, un lutin, son frère et sa soeur. Alors le père Fouettard commença à pleurer. Il dit :
- Moi je... je voulais juste passer un Noël ave... avec vous...
Il s'excusa auprès des lutins esclaves, de son frère de sa soeur. Tout le monde était ému. Ils ont remis tous les cadeaux dans les paquets et ramené tous les cadeaux au pôle Nord.

Une fois arrivé, ils rentrèrent tous dans le chalet là où vivait le Père Noël, et burent un bon chocolat chaud, tous ensemble en famille. Le Père Noël prêta un deuxième traîneau à son frère pour qu'il l'aide à distribuer les cadeaux pendant que leur sœur se téléportaient de maisons en maison.

conte de noël dans le désert
Le miracle de Noël
Il était une fois, deux sœurs qui s’appelaient Nour et Myriam. Elles habitaient dans le désert avec leur père qui était gravement malade.

C’était deux filles joyeuses et courageuses.

Myriam avait treize ans et les cheveux roux. Ces yeux étaient noirs comme une nuit sans lune et elle portait toujours un petit sac à main.
Un soir elle alla voir Nour pour discuter de la situation. Nour eut l'idée d'aller au Pole Nord afin de demander au Père Noël le remède pour soigner leur père.
Nour avait neuf ans, les yeux vairons et les cheveux de la couleur des châtaignes. Elle portait tout le temps des serre-têtes de couleur différentes, ce jour là elle portait le rose.

Myriam lui demanda quel moyen de locomotion elles allaient pouvoir utiliser. La plus jeune des sœurs lui répondit qu'elles marcheraient jusqu'à la première grande ville et qu'elles improviseraient là-bas.

Les deux sœurs commencèrent à préparer leur périple en prenant leur sac pour y mettre...

...Des provisions: du pain, des fruits, de l'eau et des gâteaux.

Myriam rajouta son sac à main rouge et des vêtements chauds pour passer les nuits et pour l'arrivée au Pôle Nord. Puis, Nour mit deux couvertures, une lampe torche, un bloc-notes avec son crayon, sans oublier son serre-tête vert (son préféré).
Une fois leur sac rempli, elles allèrent se coucher. Un bruit les réveilla, elle décidèrent donc de partir à l'aventure.

Le chemin allait être très long, il fallait d’abord franchir les hautes montagnes rocheuses qui se dressaient au loin. Elles marchèrent sur un sol aride de longues heures sous un soleil de plomb.

De grands cactus aux fleurs rouges et blanches bordaient le chemin, elles firent une pause sous l’un d’eux. Nour sursauta à la vue d’un gros scorpion marron suivi de ses petits. Myriam la rassura, cette espèce n’était pas venimeuse comme le redoutable scorpion jaune.

A quelques mètres d’elles, un coyote était allongé sous un cactus aux longues épines. Il était blessé, elles lui donnèrent de l’eau et des fruits. Il ressemblait tellement au coyote qu’elles avaient adopté l’an dernier.

En fin de journée, elles arrivèrent au pied des montagnes. Myriam sortit la carte où elle avait noté les lieux précis qu’il fallait emprunter. Un canyon étroit devait leur permettre de franchir cette barrière montagneuse avant d’arriver dans la plaine de dunes.

Elles entendirent le chameau de leur père derrière un gros rocher.

Elles s'approchèrent et virent la tête de Cacahuète. Elles étaient surprises et heureuses car il pourrait peut-être les aider. Il les avait suivi.
Elles montèrent sur le dos du chameau qui les emmena jusqu'à l'entrée du canyon. Il avait senti l'odeur d'un chamelon. Le petit, effrayé, était entouré de serpents. Elles essayèrent de le sauver. Elles mirent un bout de viande de leurs provisions sur des sables mouvants pour les attirer. Les serpents , attirés par la viande, se jetèrent dans les sables mouvants et s'enfoncèrent. Ils étaient contents et ils repartirent ensemble.

Nour et Myriam arrivèrent devant une ville qui était sortie du sable. Cette ville était la ville de Chartres.

Tout d'un coup, un tremblement de terre arriva et une baleine des sables surgit de nulle part et les avala.
Les filles parlèrent à la baleine : "Pourriez-vous nous emmener au Pôle Nord ?" Et il se trouva que la baleine pouvait se téléporter. Où la baleine va-t-elle les emmener ?...

Elles se mirent d’accord avec la baleine pour se faire téléporter au Pôle Nord. Arrivées sur place, elles marchèrent et rencontrèrent un lutin qui leur indiqua le chemin vers le chalet du Père Noël. Au bout de 3 heures de marche dans la neige, Nour et Myriam n’en pouvaient plus quand soudain elles entendirent le grognement d’un ours polaire qui était affamé. Nour pensa aux gâteaux que sa sœur avaient mis dans le sac et les jeta devant l’ours. Elles reprirent vite leur chemin et virent au loin des rennes. Serait-ce les rennes du Père Noël?

Les filles s’avancèrent vers les animaux pour vérifier si c’était bien les rennes du Père-Noël. Il se trouve que l’un d’entre eux avait un nez rouge et un chapeau de Noël. C’était bien Rudolf et ses six autres compères.
« Pouvez-vous nous aider car notre père est gravement malade ? » demanda Myriam.
Les rennes acceptèrent. Elles montèrent sur leur dos et les emmenèrent chez le Père-Noël. Elles leur expliquèrent leur aventure et il leur proposa l’aide d’un lutin guérisseur nommé Roger.

Le Père Noël accepta de leur prêter son traîneau. Les jeunes filles étaient impatientes de retrouver leur père et de ressentir un climat chaud.

Elles étaient tellement fatigués de tous ces voyages qu'elles s'endormirent au bout d'un cinq minutes de trajet. Dès leur arrivée, ils se dirigèrent vers l’hôpital pour voir le père des filles. Quand elles virent la chambre du malade, elles coururent l'embrasser. Roger donna la potion à l'homme, puis le père se mit debout et dansa la Macarena.

Charlie Buckett, fabriquant de chocolats, est un jeune homme très riche de 18 ans.

Sa fête préférée est Noël. Cela lui rappelle ses parents et grands-parents qu'il a perdus lors d'un accident de voiture. A Noël, il voudrait avoir un ordinateur high-tech, des figurines de collection qui bougent la tête. Son majordome aimerait lui offrir tout ça, mais ce soir il neige très fortement et le jeune héritier n'a dit ses cadeaux que la veille. Comment faire...?

Le soir de l'accident, juste avant noël aussi, la voiture des parents de Charlie avait glissé sur le verglas. Depuis, plus personne de la maison n'utilisait de voiture sous la neige... Depuis, surtout, Charlie attend le père noël chaque année... Comme ses parents lui manquent, il imagine un tas d'histoires, comme par exemple que ses parents ont été kidnappés par le frère du père noël, jaloux...
Le majordome ne voit qu'une solution pour lui faire plaisir et lui donner les cadeaux : utiliser internet pour écrire une commande.
Il s'installe devant l'ordinateur du bureau et recherche les cadeaux de Charlie. Il tape le code de sa banque, et voit sur l'écran qu'il n'y a plus rien sur son compte... Il a été piraté !

Le majordome, Alfred, décide d’aller porter plainte à la gendarmerie. Il raconte tout ce qui s'est passé. Antoine, le gendarme, lui dit qu'il mènera son enquête et qu’il le contactera dans la soirée.

Ensuite, Alfred se dirige vers sa banque .Il déclare le piratage de son compte .Quelques heures plus tard, Antoine l’appelle et lui donne l'adresse mail du Hacker. Alfred décide de lui écrire un message. il attend sa réponse.

Quand tout à coup le téléphone sonna. C'était Antoine, le gendarme, qui rappelait pour annoncer une bonne nouvelle:" On à localisé le hacker qui vous a piraté, il habite au ..." CLIC! Soudain,tous les appareils électroniques de la maison ainsi que les lumières s'éteignirent. Charlie se mit à stresser et Alfred à paniquer.
On toqua à la porte. Alfred alla ouvrir et vit quelqu'un vêtu de noir:"Bonjour! C'est moi qui vous ai piraté!"

Puis il sortit une arme. Alfred eut peur. Il prit la main de Charlie et l'emmena dans la bibliothèque. Dans la salle, Charlie se dirigea avec difficultés vers la troisième étagère et tira le cinquième livre.

Soudain, le pan de mur tourna et ils avancèrent vers l'armurerie secrète. Alfred prit son téléphone pour appeler la police mais il remarqua que la batterie était déchargée.

Charlie, désemparé, stresse et panique. Alfred le réconforte. Ils montent un escalier taillé dans la pierre qui les mène au grenier. Au fond de la salle, une porte. Ils la franchissent et Charlie pousse le verrou. Enfin, ils sont dans la salle d’armurerie.

« On l’a échappé belle ! Que va-t-on faire maintenant ? Je ne veux pas mourir ici ! s’écrie Charlie.
- Ne t’inquiète pas, nous avons de quoi nous défendre et nous avons une grande réserve de nourriture dans ce tiroir en bois de sureau.

- Mais nous sommes bloqués, se lamente Charlie, le hacker est toujours derrière nous. »

Le majordome trouve une trappe au plafond de l'armurerie. Il dit à Charlie de le suivre et ils entrent dans les conduits d'aération. Ils rencontrent des araignées et ils entendent le hacker qui a réussi à entrer dans la salle d'armurerie. Ils se dépêchent et arrivent sur le toit glissant.

Tout à coup, Charlie, apeuré, glisse. Et le Père Noel le rattrape grâce à son traineau. Le vieillard au manteau rouge était en train de récupérer les lettres de noël des enfants quand il l'a vu.
Charlie dit : "Merci de m'avoir sauvé. Mais je vous connais? Vous me dites quelque chose...
-C'est normal, je suis ton père...Noël."

Charlie était étonné et il dit : "Le Père Noël, wow !
- Mais oui, c'est moi ! Qu'est-ce que tu veux pour Noël ?
- Je veux te faire un gros câlin !, lui répondit Charlie."
Tout d'un coup, le Hacker tira.

Le Père Noël avec ses pouvoirs détourna le tir et décida de fabriquer un pouvoir pour Charlie. Mais quel est ce pouvoir ?

Le père Noël décida de lui donner le pouvoir de… retourner dans le passé! Charlie n’aimait pas trop ce pouvoir… enfin pour l’instant. Il remercia le Père Noël, lui fit le câlin tant espéré et partit rejoindre son majordome.
Pendant ce temps, Antoine avait réussi à localiser le hacker et était venu en renfort. Il l’avait pris de vitesse et réussit à l’arrêter avant qu’il ne s’échappe. Le voleur fut emmener à la gendarmerie. Alfred pourra récupérer son argent.Charlie avait bien réfléchi, il utilisa son pouvoir pour se téléporter juste avant l’accident pour dire à ses parents de ne pas prendre la voiture car il y avait trop de verglas. Sa maman l’écouta et il put continuer sa vie avec ses parents !
Le soir de Noël arriva…

__ Les parents et les grands-parents de Charlie furent impressionnés par la réussite de leur fils et le manoir qu’il a pu s’offrir. Tout le monde se retrouva dans la salle à manger autour d’un immense sapin, impatients que le Père-Noël fasse son apparition.

__ Ils s’installèrent à table. Elle était remplie de bonnes choses. Le Père-Noël arriva et demanda à Charlie s’il avait bien utilisé son pouvoir. « Oui », répondit Charlie. Le Père-Noël donna les cadeaux et dit « Tu as fait une bonne action avec ton pouvoir. »

__ Charlie le remercia de tout cœur et lui offrit un énorme chocolat en forme de renne. Puis, ce fut l’heure de déballer les cadeaux : parmi eux, les figurines et l’ordinateur High-tech.
__ Tout le monde fut content de se retrouver et de passer un beau Noël ensemble.

conte de noël au temps des chevaliers
Le rêve de Mina et le père Noël

Le 27 décembre 1453, dans un petit village, au milieu de la forêt, naissait la petite Mina, son plus grand rêve, en grandissant, était de devenir chevaleresse.

Bientôt arriva le jour de Noël, sa mère lui dit de préparer sa liste au Père Noël, Mina s’exécuta, elle parla de son souhait. A l’heure du dîner, le père dit à Mina que c’était impossible pour une fille. Le jour de Noël, elle reçut une poupée en porcelaine et pleura de colère.

Elle se sauva et traversa la forêt à côté de son village.

Son but était de devenir chevaleresse donc elle fera tout pour l'être. Elle partit à la recherche d'un chevalier qui pourrait l'aider. Elle se dirigea vers le château de Messire Doreille, espérant trouver Guillaume, l'écuyer du seigneur.

Sur le chemin à travers champs, Mina rencontra trois lutins. Elle leur dit bonjour. Les lutins la saluèrent aussi par une révérence. Elle leur demanda où était le château de Messire Doreille. Ils acceptèrent de la guider à condition de leur rendre trois services. Le premier était de réparer deux-cents jouets.
Mina réfléchit... Car elle se rendit compte qu'elle avait à faire à des lutins malicieux... Peut-être ceux du Père noël ? Leur premier souhait lui parut possible, alors elle accepta.
Les lutins rirent de sa réponse, alors elle se demanda si elle avait eu raison de dire oui... Mais elle savait bien bricoler... Et puis, elle voulait devenir chevaleresse, et une chevaleresse, ça n'a peur de rien !
Surtout, elle ne voulait pas se perdre et, pour cela, elle avait bien besoin des lutins ! Alors, elle se souvint de sa grand-mère qui lui avait raconté que si un jour elle rencontrait des lutins, il fallait se montrer plus malin qu'eux...
Elle ajouta : "Pfuuu... Trop facile ! Et pour votre deuxième souhait ?"
Les lutins semblèrent étonnés de sa réponse..; D'habitude, les gens avaient peur et pleuraient dès le premier voeu qu'ils donnaient...
"- Euh... Tu devras... Tu devras... Trier tous les jouets par couleur !... Mina comprit que c’était plus grand qu’elle, que ça allait être une étape longue et difficile. Mais tout à coup elle se souvint qu’elle voulait devenir chevaleresse et que les chevaliers étaient courageux. Donc elle accepta le défi.
Les lutins étaient abasourdis car ils ne s’attendaient pas qu’elle dise oui. Mina était intelligente. Elle réussit l’épreuve. Elle avait rangé les jouets par couleur tel un arc en ciel. Mina avait maintenant un sourire malicieux.
Les lutins étaient bouche-bée.

Ils proposèrent avec un peu d’espoir un troisième défi. Les lutins se concentrèrent très fort au point de faire apparaître une énorme montagne sur laquelle on apercevait un parcours plein d'obstacles en neige. Mina se dit que cela serait très difficile mais elle se lança quand même. Elle se dit qu'une chevaleresse devait faire preuve d'endurance et d'agilité et se lança dans le parcours. Quand elle arriva tout en haut de la montagne, les trois lutins l'attendaient.

« Ne perds pas de temps, il te reste encore une longue et périlleuse descente, ricanèrent les lutins. Il faudra user d’intelligence et de courage jusqu’au bout !
- Je n’ai pas peur ! » s’exclama Mina.

L’épaisse couche de neige ne facilitait pas la descente. Le vent glacial la saisit sur l’arête qui surplombait les falaises. Un aigle royal tournoyait au-dessus de chamois suivis de leurs chevreaux. Ils fuyaient vers un ravin pour se mettre à l’abri. Mina s’engagea dans un couloir où de nombreux sapins avaient été couchés récemment. A chaque pas Mina s’enfonçait dans le manteau de neige. Tout à coup, un gros rocher se détacha de la falaise et atterrit sur une plaque de neige. Les oiseaux s’envolèrent brusquement.
« Une avalanche ! cria-t-elle, aux lutins qui la surplombaient. Agrippez-vous ! »
Trop tard ! Les pins et sapins ployaient, l’énorme masse de neige fonça vers eux et les emporta. Mina et les lutins se retrouvèrent ensevelis sous un amas de neige. Telle une chevaleresse, elle parvint à se dégager et réussit à sauver les trois lutins.
Frigorifiés, ils arrivèrent en fin de matinée devant des sources chaudes. Ils restèrent un long moment à se prélasser dans ce bain.

Une fois remis de leurs émotions, Mina rappela aux lutins leur accord. Ils ne pouvaient plus refuser alors ils se dirigèrent tous vers le château. Une fois arrivés, elle demanda à Guillaume de lui présenter son seigneur.

Elle rencontra , enfin, messire Doreille et lui demanda de devenir chevaleresse. Celui-ci rigola et lui répondit que ce n'était pas pour les filles. Mina était triste. Mais les lutins expliquèrent toutes les épreuves que Mina avait réussi. Messire Doreille fut convaincu et accepta de l'adouber. Il envoya chercher l'épée de l'adoubement mais ...

... quand ils entrèrent dans la salle où l'épée était rangée, ils virent le père Fouettard qui dit : "Je t'ai observée ; tu as été intelligente et courageuse et je t'ai préparé une dernière épreuve. Si tu arrives à la fin du parcours, je te donnerai l'épée. "
Alors, Mina traversa des trous, sauta dans des cerceaux de feu, et souleva des haltères de 200 kilogrammes !
Donc, le père Fouettard lui donna l'épée tant convoitée et Mina se fit adouber. Elle devint la première chevaleresse de l'histoire et mena de rudes combats !